Logement

 

Chartres métropole compte 59 communes rurales et péri-urbaines de tailles diverses autour d’un cœur urbain de 82 000 habitants.

Autant dire qu’elle sait offrir une réelle variété de cadres résidentiels. Chartres et son cœur historique offrent ainsi immeubles et maisons de ville de toutes époques blottis dans une proximité patrimoniale remarquable. L’ambiance est celle d’une ville où l’on circule volontiers à pied et à vélo, ce à quoi invite la proximité des services et des commerces. En s’écartant du cœur de ville, et notamment le long des faubourgs historiques, les espaces verts prennent leurs aises. Là, des résidences de tailles moyennes alternent avec des quartiers pavillonnaires. Les grandes artères arborées donnent le ton : Chartres et sa zone urbaine sont déjà quasi dans la nature. En tout cas, la nature est en ville. La proximité avec le cœur commerçant de Chartres et de ses voisines est partout, de même que celle des zones commerciales en marge du coeur urbain. Passée la rocade, la zone urbaine se relâche jusqu’ à devenir une ponctuation de petites communes et de villages. À 15 minutes du cœur battant de la ville, c’est la campagne et ses charmes : les village organisés autour de leur place centrale et de leur église, avec leurs commerces et les marchés itinérants qui s’y égrènent, de commune en commune, au fil de la semaine.

Aussi bucolique que sa campagne puisse paraître, aussi paisible que Chartres soit, Chartres métropole n’est qu’à 50 minutes de Paris en train. Cette grande proximité est importante dans la vie de nombreux « pendulaires » qui travaillent à Paris. Depuis plusieurs années, ce style de vie a gagné en avantages ce qu’il a perdu en inconvénients. Les trains bien cadencés en début et en fin de journées permettent de concilier une vie professionnelle très active et une pleine vie personnelle pour autant. Le télétravail allège encore les contraintes de cette transhumance hebdomadaire.

La politique d’anticipation sur l’essor démographique que Chartres métropole a instaurée de longue date, a favorisé l’essor d’une offre immobilière complémentaire. Cette politique de l’habitat, qui accompagne le développement de la population, a précédé l’arrivée de Parisiens fatigués et empêché une flambée de prix qu’aurait pu occasionner cet exode soudain. Pensez ! En 2020, Chartres était la « première ville où il fait bon vivre à moins de 100 km de Paris »[1] !

Appartements en immeuble bourgeois, résidences modernes, pavillons tranquilles ou fermettes coquettes, aujourd’hui le marché de l’habitat dans Chartres métropole est donc généreux, sans être agressif pour les ménages.

 

[1] Etude Le Parisien mai 2020

 

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